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Cher Toi, nous en sommes là car j'hésite.

Charmant calvaire ou Méchante habitude ?

C'est selon, les jours, les mois, les envies, les échecs, les douleurs, le pôle nord, l'atlantique, la dernière fusée ariane, les jolies jambes croisées dans le métro, le reflet, les remarques, la victoire d'une taille en moi, la balance, les mots, les regards en coins, les regards absents...

Les TCA au rythme de l'Autre ?

Voilà une bien curieuse idée... Pourtant, c'est la mienne. 

Même si cela vient de nous au départ, si c'est notre faute, notre culpabilité (ou non d'ailleurs, ouvrons le débat), notre "moi" qui se rebelle, se chamaille avec lui-même; est-ce pour autant nous qui faisons évoluer tout cela ? 

Je ne dis pas : "C'est la faute du reste du monde."

Mais plutôt : "Est-ce que si c'est par les agissement qui nous entourent, qui guident nos émotions, que la maladie avance,  grandit en nous; que celle-ci se soignerait aussi par l'Autre ?"

(en admettant qu'il existe un remède, chose qui me paraît aujourd'hui risible.)

Je dois avoir un côtat d'optimisme bien élevé ce soir.

C'est presque similaire à la croyance de la "petite fiole magique contenant l'elixir" ou même du "prince charmant". . . C'est dire.

Cela me paraît être une bien forte confiance en le genre humain.

Dois-je continuer à croire en ce genre humain ?

Mais lorsque l'on se sent perdre à son propre jeu, la solution n'est elle pas l'appel au secours ?

J'arrête là mes petites questions idiotes et courre jusqu'à mon lit que je voudrais ne plus quitter...

Douces bises <3

Elly